Luma

Ceux qui me pratiquent depuis longtemps connaissent le lien entre l’architecture et moi. Cette vieille-grande-belle-et un peu conflictuelle histoire. (Rayez la mention inutile.) Mes études d’architecture d’abord, puis d’histoire de l’art ont laissé des traces indélébiles. Et il n’y a rien que j’aime plus que déambuler dans une ville et me laisser charmer par son patrimoine architectural. Qu’elle soit très ancienne ou très contemporaine ou même complètement éclectique, j’aime l’architecture. Je suis charmée le plus souvent par les des lignes audacieuses, mais l’uniformité peut aussi avoir son attrait. 

Bref, en allant en Arles pendant le week-end de l’Ascension, l’idée était vraiment de découvrir la nouvelle œuvre de Franck Gehry, le LUMA. Construite sur le site de sept anciennes usines ferroviaires rénovées, il s’agit d’un complexe artistique et culturel ouvert depuis juin 2021.

La visite de la tour s’avère être une expérience à elle toute seule. Mais tout le site est digne d’intérêt, et il y a aussi d’autres bâtiments annexes et un parc vraiment agréable.

La tour donc… En venant du centre ville, on la voit apparaitre au fur et à mesure au détour d’une rue.

Et puis, elle se montre enfin dans toute sa majesté.

Les volumes sont incroyables.

Depuis le toit, la vue sur les environs est inouïe.

Et l’intérieur présente aussi beaucoup de surprises. Comme cet escalier à double révolution.

Vous n’aimez pas les escaliers ? Pas de problème, le toboggan est à votre disposition.

Le parc mérite aussi d’être arpenté en long et en large. 

Dans les anciens ateliers est installé un service de restauration.

Et il est bien agréable de s’y poser sous les tonnelles.

Mosaïque au sol.

Centre des congrès.

Bref, Luma et la magie de Franck Gehry quoi !