Semaine 3 de 2023

Alors autant y a des semaines qu’il faut oublier et rayer de la carte, autant des comme celle-là, je veux bien en vivre 52 par an. Juste assez de cadres pour pas que je parte en vrille, juste assez de dingueries pour pas que je m’ennuie ! Parfaite, je vous dis.

lundi

Russel a raison, je crois que comme lui, écrire m’aide à devenir meilleur. Il faut sûrement encore un peu de temps, mais un jour j’écrirai aussi des histoires. Des histoires qui ne seront pas tout à fait les miennes. Des histoires qui ne seront pas tout à fait inventées. Et puis elles seront éditées, et des gens les liront. Ou pas… Surtout ou pas, en fait… Mais moi j’écrirai. J’écrirai vraiment.

En ce Blue Monday (le jour le plus déprimant de l’année), la météo ne pouvait qu’être pourrie. Sinon, ce n’était pas du jeu. Au passage, la vision de mon jardin l’hiver… Sous la pluie… Les bananiers gelés… Blue Monday je vous dis.

Jul en arrêt maladie a décidé de reprendre là ou il en était au dernier confinement. Il a, cette fois, vidé tous les placards de l’arrière-cuisine. Le tri a été important entre attaque de mites (vive les produits bio) et dates de consommation archi dépassées. Ok, Ok, 2015 c’est vieux pour un fond de paquet de quinoa.

Bon, je me moque, mais il a deux avantages importants à cette activité : ça a occupé Jul quelques heures, et il a découvert dans le rayon moules à gâteaux des trucs improbables… Après avoir tourné le bordel dans tous les sens, on a fini par demander à celui qui sait tout, Google. Il semblerait que ce soit des moules à glaçons dans lesquels on met des fruits ou autres trucs surprises… Ce que je ne m’explique pas c’est comment ce truc est arrivé dans mon placard… 

Autre avantage d’avoir Jul à la maison, je n’ai qu’à penser à une tasse de thé pour qu’elle arrive aussitôt. 

Visio avec Alice qui nous informait de sa venue prochaine. Je suis joie !

Le résumé de la semaine dernière.

Un débat de la plus haute importance sur les horaires imposés par l’arrêt maladie de Jul. C’est quand même incroyable qu’à 51 ans bien sonnés, j’apprends que je pense tout le contraire de la réalité depuis toujours. Bon, en même temps, ça revient au même, c’est lourd les horaires de sortie obligatoires.

Nous parlions tout à l’heure du Blue Monday : et bien, c’est évidemment scientifique, et voici comment ça se calcule cette affaire. Clair, non ?

Et sinon ? Ben gaufrette, parce qu’il y a que ça de vrai dans la vie. La gaufrette à message !

mardi

Je me rends compte que je suis très phrases inspirantes et mantras cette semaine. On se rassure comme on peut. Et puis cette histoire de vibration… Depuis que ma thérapeute et J ont dit que j’y avais réellement droit et que je n’étais pas condamnée à une vie monotone… 

En parlant de thérapeute, mon rendez-vous bimensuel. On a longtemps débreiffé la séance d’avant et l’on en a tiré les conclusions qui s’imposent. Cette fois, le travail a été moins violent et bien plus flou. Elle a dit que c’était OK, qu’il ne fallait pas que j’y pense, que le travail se faisait en fond et qu’il était tout aussi efficace. Je me dis que vu la suite, c’est peut-être bien le cas effectivement.

Pendant mon absence, Jul s’est mis en cuisine. Autre avantage de sa présence, comme il cuisine, je me nourris mieux. Enfin, plus régulièrement et plus efficacement. Ça aussi ça participe à mon état général évidemment.

Et sinon… Je sais que ça va passer hein ? Mais je n’aime vraiment pas la pluie. Cette humidité ambiante, ce manque de lumière. Et puis, bien sûr le froid… D’accord, j’arrête de râler, on ne peut rien y faire et se revoler contre cela est juste une perte d’énergie. Mais je n’aime pas la pluie.

Et c’est en bravant les éléments que j’ai été jusque chez J. Elle devait faire son CV et avait besoin d’un regard extérieur.

Il y avait des douceurs, parce qu’il faut du carburant pour réfléchir quand même.

Quelques confettis qui avaient échappé au grand ménage post jour de l’an.

Et puis, on est rentré dans le vif du sujet. Non, ce n’est pas la tête de J sur l’écran. Évidemment ! Bref, on a bien travaillé. Elle y voyait plus clair à la fin de la journée. J’ai trouvé l’exercice hyper intéressant. Posé des questions évidentes, ou incongrues, ou innocentes qui débouchaient sur une prise de conscience. C’était top. Je pourrais écrire que j’espérais avoir aidé, mais en fait je suis sûre que oui. Et ça, c’est top. 

Et au retour ? Devinez quoi ?

Bon, par contre la photo floue du jour… Pourquoi ? Comment ?

mercredi

@L’Astrcoeur me connait ? D’où ça ? Je vois pas…

Le mercredi, c’est le Clan des Blondes. Comme je passe toujours le mercredi à la même heure par le passage à niveau de Saint-Sulpice, je veux bien admettre que c’est toujours le même train qui bloque… D’accord ! Mais je suis maudite du train quand même…

Photo floue de mon sac à main sans aucun intérêt. Sauf ce rendu graphique un peu improbable et le fait que mon Itruc vit sa vie… Je me demande d’ailleurs si mon téléphone et mon sac n’ont pas une liaison cachée… Je les ai souvent retrouvés étroitement liés…

Clan des Blondes donc. Le cercle de base est là. Et puis, d’autres viennent s’asseoir. Nos hommes se rendent dispo. Certains se croisent. Vraiment, c’est top. Et les sujets sont variés et toujours enrichissants. 

D’ailleurs en parlant de sujet enrichissant, celui des couvre-toilettes étaient particulièrement intéressant. Certains ne savaient même pas que ça existait. Moi si, j’avais été confronté à cette affaire étant enfant. Je ne pensais pas que ça existant toujours. Il faut bien se rendre à l’évidence que oui. 

Enfin, le retour du soleil grâce au vent.

Alors sieste et lecture au soleil.

En fin d’après-midi, véto pour Orion. Il boitait depuis plusieurs jours. Mais vraiment. Genre il marchait sur 3 pattes et tout. Je finis donc par prendre rendez-vous et… Le matin même, le voilà qu’il marche sur toutes ces pattes et qu’il boite à peine. Comme les gosses ! Ils ont 40°C de fièvre dans la nuit et le matin chez le docteur ils pètent le feu ! Grrr ! Bref, c’était sûrement une entorse. Il a couiné un peu quand le véto l’a manipulé. Et une piqûre d’anti-inflammatoire plus tard, il courrait comme une gazelle. Ça nous aura au moins permis de papoter avec nos potes et c’était bien ! Oui les vétos sont nos copains et nos voisins, mais on a du mal à trouver un créneau pour se voir.  

Recherches de grande envergure. C’est que le samedi nous avions LA soirée de l’hiver chez A et L. Cette année, le thème était « nature »… Il a fallu réfléchir intensément pour être original et/ou drôle. 

Mon idée de départ était en réalité du réchauffé. J’avais fait à Alice pour un carnaval une robe toute en feuille. Du coup, j’ai voulu refaire la même pour moi, mais depuis la haie qui m’avait servi de réservoir de feuilles n’existe plus. Je n’ai pas osé demander à mes voisins l’autorisation de dépouiller la seule haie feuillue en plein cœur de l’hiver. Je me suis adaptée et j’ai cherché une alternative.

Après la pluie, la neige ! Franchement, je préfère ! Enfin, vu mon activité du lendemain pas sûre que je trouve ça aussi sympa quand même.

jeudi

Réveil aux aurores pour un départ à 8h. Mais quelle idée ?

Direction Saint-Sulpice pour retrouver K et SuperMario et hop direction Toulouse. Il ne faisait pas chaud, mais quand on a posé la voiture au parking du métro, le ciel se dégageait.

Métro donc. Même pas surpeuplé. C’était appréciable.

Et petit déjeuner parce qu’on était en avance sur notre rendez-vous.

C’est que nous avions rendez-vous à 10h pour manifester contre les retraites.
Bon, éloignons de suite la question (j’y reviendrai peut être un jour dans un article dédié), je ne suis pas engagée politiquement. J’ai quelques convictions que je défends toujours très mal. Mes souvenirs d’enfance où les adultes s’engueulaient copieusement me tiennent a distance de tous débats. J’ai quelques valeurs, heureusement. Les inégalités et la violence envers les femmes, le racisme et l’intolérance, l’avenir de la planète (et quelques autres) font de moi l’individu de base : femme, 50 ans, ménopausée, néorurale. Alors, pourquoi manifester contre les retraites un jour d’hiver par 2°C ? 

D’abord, il y a deux ou trois trucs dans cette proposition qui me pique un peu. Mon mari qui fait un métier pénible ne va-t-il pas « mourir au boulot » ? Qu’en est-il des gens comme moi qui n’ont pas fait une carrière linéaire ? Sortie de la fac a 27 ans parce que j’étais étudiante chercheuse, c’est tard. Comme toute ma génération, on nous a toujours rabâché qu’il n’y avait pas de boulot, que nous étions une génération sacrifiée, alors quand je me suis retrouvée sur le carreau, à chaque fois j’ai créé mon emploi. Sauf, que ça ne compte pas pour la retraire… À 51 dans, je n’ai pas encore la moitié de mes trimestres. Je ne suis pas la seule, qu’en sera-t-il de nous ? Pourtant, je n’ai PAS rien fait…

Et mes enfants ? L’un a commencé super jeune, se tuera-t-il à la tâche ? L’autre restera encore longtemps sur les bancs de la fac, pourquoi ces années-là ne sont-elle pas prises en compte ? 

Je ne suis pas contre pour être contre. Loin de là. Je veux qu’on m’explique et surtout que chaque spécificité soit considérée et que le projet soit cohérent et juste. 

Bon et puis j’avoue, je n’ai manifesté qu’une seule fois dans ma vie. C’était dans les années 90. Je ne me souviens pas du mot d’ordre. J’ai essayé de chercher, mes souvenirs ne correspondent pas aux dates. Par contre, je me souviens de la foule, du sentiment de liberté et de transgression de l’ordre établi.

Parce qu’il y avait quand même un peu de ça aussi pour cette manifestation, 35 ans après, la transgression. Et puis je me suis dit que ça ferait de belles photos. Moi aussi je peux être reporter BFM. Nan, ce n’est pas vrai ! Bien sûr que ce n’est pas vrai !

Bref, c’était drôle. On s’est vite retrouvé au cœur d’une foule dense et compacte. Le groupe s’est vite divisé en deux. Heureusement, SuperMario m’a pris par la main pour que je ne m’égare pas. Et l’on est resté solidaire tout le long. Attendant, reculant, et écoutant Véro de la compta et Pierre de l’atelier chanter leurs chansons réécrites… J’avoue j’ai été un peu moqueuse sur le sujet. Un brun cynique. Et puis, je ne connaissais pas les paroles.

Avec un peu d’observation, j’ai trouvé quelques pépites.

Le tracé suivait les boulevards toulousain, lieux que l’on empreinte seulement en voiture habituellement. C’était l’occasion d’observer des bâtiments plus ou moins beaux que je n’avais jamais vu.

Une manif sur 8 km. 36 000 personnes selon la police, 50 000 selon les syndicats. La vérité sûrement être les 2. Ça en fait du monde.

Je commençais à dire que « c’était tout doux quand même cette histoire ». Oh pas que je souhaite de la bagarre, mais bon quand même ! Un peu de fumigènes ? Aaaaah, ben oui, voilà ! Ouf ! Les jeunes avaient la fougue de leur âge.

Sur le passage, les abattoirs et ce rappel qu’il faut vite aller voir l’expo Niki de Saint Phalle avant la fin.

Pour débrieffer tout ça, resto et Oh ben dites donc Forno Gusto sur notre chemin et après une longue errance (j’exagère qu’un tout petit peu).

Et puis retour…

Et puis la pluie…

En participant à cette manifestation, j’ai eu l’impression de faire une dinguerie ! La transgression de toutes les règles établies. Heureusement, ma fille m’avait donné son autorisation… Le niveau suivant : Ne demander l’aval de personne !

Film du soir espoir. J’aime beaucoup ces films de bande de copains. Je pense que c’est le côté Clan qui me plaît même si ça se chipouille dans les rangs. Sinon, il n’y aurait pas de film.

Fin de journée blanche, et l’excitation que la neige apporte toujours.

vendredi

Qui dit soirée blanche (non, ça n’a rien à voir avec la coke) dit réveil blanc ! Et c’est beau ! Bon par contre mon jardin en hiver c’est vraiment toujours pas ça quand même.

Qui dit neige dit aussi froid, et donc feu dans la cheminée et chat sur les genoux.

Hadès ne fait désespérément rien comme les autres. Et dans ses rêves, il se prend parfois pour Superman. Pauvre bête quand même.

Comme il n’a que ça à faire, Jul a entrepris de relire l’ensemble de la bibliothèque. Oui, oui, Martine aussi. D’ailleurs, en retombant dessus, on s’est dit que la petite fille en couverture penchée juste ce qu’il faut pour montrer sa culotte, c’était moyen. Les temps ont changé et c’est très bien.

Oh, mais c’est vrai ça ! On peut aussi rapprocher le fauteuil du poêle ! Et après, on peut plus s’en éloigner ? C’est le risque ma bonne dame. 

Heureusement, les couchers de soleil font (presque) oublié les températures trop basses.

Un nouveau mantra ? La contestation gronde…

De la neige, du froid, ça rime avec fromage non ? Ah si si si ! Je vous assure.

Et puis la suite logique, évidemment. Je précise que le chat n’a mangé que des croquettes.

samedi

De bon matin et de bonne humeur, Raph et E a eu la bonne idée de monter au Pas de la Case. Bien évidemment, il y avait beaucoup de neige. Bien évidemment, il a fallu mettre les chaînes. Bien évidemment, Raph a appelé pour nous raconter ses péripéties. Ce n’était peut-être pas le jour pour monter à 2 000 m en même temps. Ils sont redescendus sains et saufs, le Partner aussi, c’est l’essentiel.

Jul au marché a acheté une montagne de choux et de poireaux. Mais pour quoi faire ?

J’ai sorti la boîte d’épingle de Marcelle et à l’attaque ! 

Sélection de feuilles et expulsion d’indésirables.

Échange de SMS avec C depuis Nantes. La cocotte de sa fille (19 ans passée, sa fille pas la cocotte) venait de prendre un bain et elle avait du coup pensé à nous. C’était bien d’avoir de leur nouvelle. J’espère que prochainement nous pourrons aller leur faire un bisou.

Le selfie envoyé, où finalement nous ne sommes pas si mal.

Bon, bon, OK, mais c’est quoi ces feuilles de chou ? Et bien ma robe pour la soirée « nature ». J’avais prévu une jupe en choux et un haut en poireaux (comme sur la planche Pinterest un peu plus haut).

Sieste obligatoire.

Avec le reste de légumes, j’ai fait de la soupe. En m’y reprenant à deux fois. J’ai voulu faire blanchir le chou pour que ce soit plus digeste (les voisins m’ont gentiment dépanné de bicarbonate). Résultat des courses, je pense que ça a trop cuit, c’était beurk, beurk, beurk ! J’ai tout recommencé. Ouf, cette fois c’était bon. Enfin, paraît-il, moi je n’aime pas la soupe de légumes verts.

Et puis ç’a été l’heure de se faire une beauté. Jolis collants et paillettes sur les yeux.

Je n’ai pas mis le bustier finalement. Ça ne le faisait vraiment vraiment pas. Un espèce d’édredon encerclé par des poireaux, c’était non seulement immonde, mais en plus, hyper lourd. J’ai préféré les 2 feuilles de chou sur la tête qui me donne cet air très très tarte. D’ailleurs, ça existe les tartes au chou ? Pas sûre… Ce n’est pas bon le chou…

Très tarte je vous dis !

Et là, vous allez dire : «  mais c’est quoi ce déguisement de licorne que Jul porte ? On ne comprend pas bien le rapport avec le thème nature ». Et vous avez raison. Il faut suivre son raisonnement. La licorne est transpercée d’une flèche. Elle a les yeux fermés. Elle est morte. C’est une nature morte ! La boucle est bouclée.

Il y avait tout un bestiaire allant de la coccinelle au léopard, plein de pots de yaourts, des fumeurs d’herbe, des arbustes, d’autres légumes, une jolie abeille…

Il y avait aussi des sacs poubelles qui incitaient à la protection de l’environnement. 

D’ailleurs, c’était un costume hyper bien étudié, car il faisait aussi porte-gobelet. Les champignons hallucinogènes ont eu leur petit succès.

Et puis ça a dansé et chanté fort. Et c’est bien. Il nous fallait bien ça pour nous réchauffer au cœur de l’hiver.

Si ma jupe a remporté tous les suffrages , je me doutais bien que j’allais m’éplucher au fur et à mesure. Marcelle aurait dit que c’était « une tenue de déjeuner de soleil » c’était normal que je finisse par me faner.

J’ai persisté un peu puis je me suis changée. J’ai enfilé une jupe en jean bien trop petite dont le bouton n’arrêtait pas de sauter. Je crois qu’il est temps de perdre du poids.

Non, non, je n’ai pas mangé de chocolat, contrairement à d’autres…

Ma soupe a eu l’air de plaire. J’avais fait un petit granula aux graines avec.

Il y a eu une lutte à mort pour la l’occupation d’un canapé très confortable. Et même des empilements, mais pas trop, la cheville de SuperMario est fragile, on ne voulait pas l’abîmer.

À 4 du mat, on était tous épuisé. Et on était les derniers, alors au dodo ! Toute façon les photos étaient complètement floues, c’est signe !  

Ceux qui savent, savent… Et cygne c’est un animal blanc avec un grand cou…

dimanche

Réveil en fin de matinée. Forcément en allant me coucher à 4h30 et en attendant que mes médocs fassent effet, je n’ai pas fermé l’œil avant 6h. 

Jul a dit « Viens on va marcher. Ça te fera du bien et moi j’ai besoin de m’oxygéner ». OK, j’avoue qu’heureusement on n’a croisé personne parce que ma tête de lendemain de fête.

Un passage chez les Rabastinois d’en haut. Pas là.

Le long des quais pour profiter du paysage et un arrêt chez Raph. Pas là non plus.

Alors thé et cookies, et c’était très bien ainsi.

Jul a descendu l’écran. Le spectacle de Gad était plutôt bien. Il a fallu que je sous-titre, Jul ne savait pas qu’il avait eu une « aventure monégasque ».

Puis en suivant film plutôt gentillet avec Didier Bourdon. Parfait pour un dimanche soir.

Et voilà, ainsi qui se termine cette belle semaine. Celle à venir verra Alice venir et repartir pour revenir encore. Il devrait y avoir une avalanche de fromage fondu et des rendez-vous sympas. La remontada se poursuit. 

Je vous souhaite de beaux moments et juste ce qu’il faut de dingueries pour faire pétiller vos yeux. Des bisous doux

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