Semaine 2 de 2024

Quand la semaine semble scindée en deux, ça donne une drôle d’impression. A la fois confortable à la fois exaltante. Bonne lecture !

Lundi

Toujours pas de luminosité en ce mois de janvier. C’est souvent le cas. Tellement même, que le 3e lundi de janvier est décrété le jour le plus déprimant de l’année (blue monday pour les intimes). Vous le saviez ?

J’avoue que je préfère le coin du feu avec le chat à mon jardin si triste et si humide. 

Écriture du résumé de la semaine dernière parfaitement dans les temps (ou presque).

Et pendant que je bossais…

Fin de journée un peu tendue : Jul en cuisine trouvait le temps long. Le timing prévu par la recette était largement dépassé et c’était l’heure de l’entraînement de basket. J’ai proposé mon aide, mais je me suis fait refouler sans ménagement. Le petit stress avant de reperdre le boulot le lendemain ? Peut-être… Notre organisation est à revoir.

Mardi

Réveil très très tôt et traversé de pont pour le Petit-déj Entrepreneur. Nous avions prévu avec F de faire le selfie « beaux cheveux ». Il faisait trop nuit, ce sera le selfie « sourire du matin ».

Comme d’habitude, nous avons été très bien reçus au Week-End (si vous avez un événement pro ou perso à organiser, c’est un bon plan). Encore des nouveaux à rencontrer. Très bien.

Est-ce que ma glycémie a explosé ? Je crois oui. Est-ce que j’ai eu faim toute la journée ensuite ? Tout à fait !

Retraversée du pont sous le soleil cette fois. Je ne pourrais jamais me lasser de cette vue, je crois. Je le dis à chaque fois, pardon. Mais qui n’a pas sillonné ce pont ne peut pas savoir.

La semaine dernière, j’avais cherché l’info de la réouverture de Notre Dame du Bourg et en m’approchant j’ai vu que la porte était ouverte… Le tuyau de la réouverture était dans le sas (pratique) et l’église était effectivement accessible à tous depuis le 24 décembre. Vive le miracle de Noël.

J’en ai donc profité. La restauration est parfaite. Ni trop visible, ni trop discrète. Ça faisait plaisir de la retrouver, la Notre-Dame de chez nous.

Puisque j’étais là, j’ai voulu en profiter pour passer dans cette nouvelle pâtisserie ouverte en décembre. Ben, raté ! Fermeture exceptionnelle pour deux jours. Faudra réessayer, paraît qu’on peut manger les gâteaux sur place en buvant du thé…

Retour à la maison avec câlins de chat.

L’après-midi s’annonçait douce. Je suis allée sur les marches de la Place des Lices pour attendre J qui arrivait en bus de Saint-Sulpice. Il faisait froid c’est vrai, mais le rayon de soleil qui arrivait jusqu’à moi était bien sympa.

Comme La Petite Française était fermée (tant pis pour elle) nous avons joué l’efficacité et hop une théière et des gâteaux à la Dilettante. Juste parfait comme d’habitude.

Jul s’est arrêté en revenant de la gare. Un thé, quelques éclats de rire et J est remonté dans son bus. Faut qu’on réfléchisse à cette histoire de salon de thé… On reste fidèle ? On change à chaque fois ? On mixe ? Va falloir travailler notre stratégie. On a quelques idées…

Mercredi

Clan des Blondes et là pour le coup, y a pas à réfléchir, on est fidèle à l’Atelier et on le restera !

Toujours les travaux sur la route.

Rendez-vous pro dans l’après-midi. Un gîte à Lavaur.

Un lieu très réussi. Ça va être sympa de travailler sur un site comme ça.

Raph est passé mettre de l’essence dans le Tank. On discutait dehors ensemble du coup. Et Jul est arrivé en disant qu’il avait hésité à prendre une galette. Bah, fallait pas hésiter du tout ! Il y est retourné !

Hello Fresh du soir, espoir ! C’était vraiment de toutes les recettes depuis le début, celle que j’ai préférée !

Jeudi

Bon ben, ça caille et ce n’est pas comme si je devais prendre la route dans l’après-midi. Heureusement, les températures ont remonté dans l’après-midi.

Rendez-vous chez la psychologue. Lors de notre dernière séance, elle avait fini sur « vous pouvez vous faire confiance » et « vous pouvez faire confiance à votre intuition ». Ça m’avait fait comme un espèce de haut le cœur. Vraiment ? Non, mais vraiment vraiment ? Et puis ça a fait son chemin… 

Cette fois, la séance a été un peu différente. On ne l’avait pas prévu, mais en racontant ma vie depuis la dernière fois, nous nous sommes rendu compte que de nombreuses choses s’étaient mises en place (certaines depuis longtemps en réalité). Le ton de la conversation a tourné au bilan. 

Et d’un coup, comme sorti de nulle part, j’ai dit : « maintenant, je peux recommencer à aimer ! ». Ces mots me sont tombés de la bouche. Littéralement ! Elle a pris une feuille blanche, a noté la phrase tombée là comme une bouse, et puis elle a dit : je vais l’encadrer et même la stabilloter !! ». Je suis sortie de là un peu interloquée, et un peu plus légère. Pour tout avouer en écrivant ce résumé, je me rends compte que je n’en suis toujours pas revenue.

Et sur ces bonnes paroles, en voiture Simone. Direction la Provence pour une semaine chez Padou et Madou. Simone (ouai, je vais appelle ma voiture Simone finalement je crois) s’est très bien comportée malgré la pluie et le monde sur l’autoroute. Évidemment, le régulateur de vitesse me manque (et deux trois autres trucs, changement de standing oblige), mais je finirai bien par m’y faire. On pourrait croire comme ça que je fais la difficile, que je fais encore ma princesse ! Sauf que ce n’est pas du tout cela. Entre le Tank et moi, c’était une vraie histoire d’amour. Oui, on m’a traité de Poule de luxe dans mon 4×4 doré. J’ai assumé. Parce que je l’aimais vraiment mon 4×4 doré. Son gabarit, sa tenue de route, ses accélérations, son réconfort aussi… Alors le laisser dans d’autres mains (même celles de mon fils) ce n’est pas si simple. Forcément Simone a quelques trains de retard. Et même si je pense que nous pourrons nous entendre, ce ne sera jamais passionnel… Je vais avoir besoin d’un peu de temps pour passer à autre chose.

Une semaine provençale dont pour passer un peu de temps avec les parents.

Vendredi

Je suis Digital Nomad non ? C’est la première fois que je délocalise vraiment mon lieu de travail sur toute une semaine. Je ne suis pas en vacances, je travaille ailleurs c’est pas pareil. Et je teste pour voir si ça marche bien…

Et j’ai été efficace ! Comme quand je vais travailler en coworking. À réfléchir, vraiment. 

Visio du soir, espoir.

Samedi

Un petit rayon de soleil dans le froid ambiant.

Re visio. C’est quand même incroyable comme la visio allège les distances.

Dans le placard de ma mère, la lampe d’Aladin… J’ai frotté, frotté, frotté, et… Rien ne s’est passé. Bon ben tant pis.

Une petite sortie pour aérer le poil. Direction le supermarché du coin.

Et de quoi faire la raclette du soir parce que le fromage c’est la vie.

Dimanche

En Provence aussi le ciel est bas.

À Saint-Sulpice chez les copains, il y avait concours de galette. Avec des trophées pour les plus chanceux. Jul en avait fait une aussi. Paraît qu’elle était très bonne. J’avoue que je suis contente qu’il n’ait pas remporté le dauphin rose et violet. 

Ici le dimanche s’est tranquillement terminé.

La semaine prochaine devrait être sur le même schéma avec Provence puis retour vers la maison. Du calme du calme et du calme. Pour supporter les tempêtes ?

Très bonne semaine à tous, je vous embrasse fort.

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