Semaine 37 de 2022

Ah ben voilà ! Les bonnes résolutions de rentrée n’auront pas tenu longtemps ! Je m’étais dit que quoi qu’il arrive mes résumés de la Semaine seraient écrits le dimanche soir idéalement, au pire le lundi matin histoire d’être un peu régulière. C’est plus agréable pour vous, lecteurs (mais vous vous connectez bien quand vous voulez, en fait), et les algorithmes de Google ainsi que ses potes préférés. Bref, comme vous pouvez le constater, je suis aux fraises une nouvelle fois. Et teasing de fou, quand vous connaîtrez la raison de mon retard, vous allez rire 5 min. Ah ben oui, va falloir revenir la semaine prochaine ma bonne dame ! A chaque jour suffi sa peine comme dirait ma mère. 

Et puis comme si ça ne suffisait pas, la technique est capricieuse et en toute fin de rédaction de cet article, un peu long je vous l’accorde, au moment même où j’allais valider pour publier, paf, bug et tout a disparu. Du coup, je suis allée voir ailleurs si l’herbe était plus verte plutôt que de détruire mon ordinateur à mains nues. Il peut encore servir. Bref, quand ça ne veut pas…

Mais revenons à nos moutons, que c’était-il passé la semaine dernière ?

Lundi

Nous en étions resté à dos bloqué et toux grasse. Inutile de vous dire que je ne suis pas allée à la marche nordique… À la place, journée de socialisation, mes voisines sont passées papoter 2 min autour d’un thé.

Y en a qui a profité de la situation.

Peut être que je vais apprendre à lire dans le marc de café. C’est une bonne idée, non ? D’ailleurs, ça me chatouille un tantinet de retourner voir la « liseuse » qui avait vu juste sur un certain nombre d’événements de ma vie. On pourrait croire que c’est de la magie de bonne femme. Certes ! Mais faut bien avouer que c’est troublant quand même.

En attendant, je choisis ma tasse avec soin. L’énergie est là, profitons-en. D’ailleurs, est-ce trop dans l’énergie ? Je ne pense pas, mais on ne sait jamais. De toute façon, si retour de bâton il doit y avoir, retour de bâton il y aura et je ne pourrais rien y faire du tout. Enfin si, attendre que ça passe… Une embellie comme ça, il y a tellement longtemps que je n’en ai pas eu que j’en profite et pi c’est tout. Demain est un autre jour (encore un dicton de ma mère).

Avez-vous lu le résumé de la semaine ? On me souffle dans l’oreillette qu’une certaine personne proche, très proche de moi, aurait plusieurs semaines de retard. Je ne vous félicite pas Monsieur ! Bon d’accord, promis Jul je dirais pas que c’est toi ! Oups…

Une maison pleine de chat ? Ah Bon ?

Mardi

Rendez-vous chez la Psychologue pour débriffer les vacances et avancer. Pour le coup, j’ai vraiment bien progressé. Je pense même que ma forme du moment vient aussi de là. Vivement le prochain. Bon, le traitement mis en place par le Dr F la dernière fois que nous nous sommes vus, a aussi son rôle dans l’affaire. Suis-je enfin sur le bon chemin après 5 ans d’errance ?

J’ai changé de spot dans mon jardin, histoire d’en profiter encore un peu avant l’arrivée de l’hiver.

Le fond de l’air est plus frais, je ressors les tasses de thé.

Quelques heures de travail. Des missions me sont confiées sans que je les sollicite vraiment. C’est agréable, c’est confortable.

Un peu de culture dans ce monde de fou. La mort de Godard a mis en avant ses films et sa philosophie. Si je trouve son impertinence sa façon de voir les choses et surtout d’envisager la mort vraiment très intéressante, ses films par contre… Comment dire ? Je n’ai jamais été emballé. Mais alors, pas du tout du tout. C’est sûrement un manque de culture (ou de confiture, je ne sais pas), mais là franchement je sèche devant Pierrot le Fou ou À Bout de Souffle. Peut-être que je n’ai pas regardé les bons films. Peut-être que je ne suis pas assez intelligente. C’est comme ça, je passerai à côté de Godard pour toujours. Ce sera mon seul regret de cette vie. En même temps, c’est peut être pas très très grave… Si ?

Mercredi

Ça avait commencé comme une blague un soir d’anniversaire avec les St-Sulpiciens « Et elles en pensent quoi le Clan des Blondes ? »  On pourrait croire que c’était sexiste ou inapproprié, mais il faut bien se rendre à l’évidence, nous étions trois blondes l’une à côté de l’autre et qu’il fallait qu’on donne notre avis. Du coup, comme j’aime bien les Clans (vous le savez) j’ai proposé à J et C (mes co-blondes) de nous retrouver une fois par semaine pour débattre de notre statut de blonde et surtout d’autre chose. Comme nous ne sommes pas sectaires, j’ai aussi proposé à SuperMario nouvellement retraité de se joindre à nous. Ainsi qu’à tous ceux dispo, comme K, qui est brune, par exemple, qui ne travaillent pas le mercredi matin.

Posés à la terrasse de l’Atelier, la matinée a vraiment été parfaite !

Déjeuner cool avec un bon film. Pour l’instant, les séries me gonflent, alors je fais autrement. J’ai vraiment beaucoup aimé ce film. Bien ficelé, bien interpréter. Mais j’ai un faible pour les films français… Enfin à part ceux de Godard.

Bon, y a un qui est vraiment très très loin de toute esthétique cinématographique.

Au retour de Jul, hop, en voiture pour amener son carrosse à la révision.

Retour a pied avec arrêt au centre-ville acheté 2-3 trucs à manger. Comme nous étions là, Jul en a profité. Je pense qu’à lui seul, il assure 95 % de la vente des pochettes Playmobil du Carrefour Contact de Rabastens.

Le truc quand tu vas chez Carrefour au alentour de 18h, c’est que tu rencontres toute la ville. Et hop, X du Clan de la Crèche. Et patati et patata. Normal quoi !

Sauf qu’au bout d’un moment, l’orage qui menaçait depuis un bon moment a fini par craquer. Et c’est très très mouillé qu’on est arrivé à la maison. On est d’accord, on va pas se plaindre. Il manque cruellement d’eau partout. 

Alors, on s’est posé pour sécher. Jul est devenu un pro des réseaux sociaux. Il y passe presque autant de temps que moi. Et vous savez ce qu’il fait ? Il y mate des… Playmo ! Évidemment. Il a réussi à trouver des groupes de furieux qui passent leur temps (et leur argent sûrement aussi) à créer des personnages et des mises en scène et qui parcourent l’Europe entière pour présenter leur boulot. Je pense que Jul fera ça quand il sera grand.

En parlant de réseaux sociaux, vous connaissez Céleste Barber ? Non ? Je vous laisse la découvrir. Elle est juste fabuleuse.

J’ai croisé ces mots au détour d’un post Instagram. Je le pose là pour me dire que je suis pas vraiment seule quand la bise reviendra.

Jeudi

Ah ? J’en vois 2 au fond qui suivent (la 3e ne compte pas c’est ma mère) : comment va ma toux ? Ben, je pense que je suis en train de cracher les cigarettes que je n’ai jamais fumées durant toute ma vie. Et le son de ma voix est un savant croisement entre celle d’un baryton dépressif et un phoque asthmatique. Sublime ! J’ai fait bien rire tous ceux que j’ai pu croisés.

Les réseaux sociaux (oui, je sais encore, mais c’est un peu mon job) sont parfois les messagers de bonnes nouvelles. 

Récup du Partner: c’est Raph qui m’a accompagné dans sa 206. J’ai papoté longtemps avec mon garagiste. Il est top mon garagiste, il fait des films et des milliers d’autres choses.

J’ai élaboré une nouvelle théorie basée sur le « on mange ce que l’on aime ». J’avais envie de pâte à tartiner de la marque dont on ne doit pas dire le nom. J’ai acheté une autre marque délibérément, qui forcement n’a pas le même goût. Du coup, quand je trempe ma cuillère, je m’attends au goût de l’interdit. Et ce n’est pas ça du tout ! Du coup, je n’ai pas envie d’y revenir, et je ne vais pas acheter un pot de la marque bannie puisque celui-ci est ouvert. Pour l’instant, ça marche. Espérons que ça dure. 

La boîte verte ci-dessous est mon pilulier et chaque soir depuis 5 ans je la range sur la boîte en métal Riqclès posée sur le plan de travail de la cuisine. Quand Raph habitait encore ici, tous les matins, il devait enlever la boîte pour pouvoir sucrer son café. Ça le rendait dingue. Parfois, je faisais des efforts. Depuis qu’il est parti, le pilulier a retrouvé sa place. Et lorsqu’il est passé ce jour-là, Raph n’a pas pu s’empêcher de remarquer l’affaire. Moi, ça me fait rire. Je me dis que quand je ne serai plus, mes enfants se souviendront de mes petites manies comme ce pilulier, mes verres/tasses à moitié vides abandonnés dans toute la maison. Comme mes chaussures laissées à l’endroit exact où je les ai quittés, histoire de les retrouver facilement alors qu’il existe un placard à chaussure.

Jul a eu envie de crêpe, alors, j’ai fait des crêpes.

Vendredi

Le vendredi après-midi, c’est sieste pour Jul, surtout si on sort le soir. Cette fois, il était bien accompagné.

Et effectivement, il y avait sortie. Chez les voisins pour une soirée pizzas du 29. Ce bout de mur n’appartient pas au la maison des copains, mais je l’ai trouvé tellement mignon.

On a fait les choses dans l’ordre : apéro avec des produits en provenance de l’Épicerie de nuit.

Les pizzas du 29, succulentes évidemment.

Et pour le dessert, mon Gâteau qui marche à tous les coups. J’utilise cette recette depuis un million d’années et j’ai toujours un certain succès. La recette est simple, c’est la base du gâteau au yaourt classique, mais à ma façon. C’est-à-dire 1/2 de la dose de yaourt qui est remplacé par de la crème fraîche épaisse et entière. Et du beurre remplace l’huile. J’ajoute ensuite des trucs pour donner du goût. Ici de l’eau de fleur d’oranger et des écorces de citron et d’orange. Et hop ! Le meilleur gâteau de l’année.

Et paf ! La bonne soirée !

Samedi

« On fait quoiiiiiii aujourd’hui ? » 
« Je sais pas, c’est les Journée du Patrimoine, on pourrait en profiter ? »
J’avais bien sûr anticipé le truc et j’avais une réponse toute prête. 

Direction donc Toulouse et son métro. Parce que tout commence toujours par le métro à Toulouse.

Dans le wagon, j’ai fait un truc que je ne fais jamais d’habitude. J’ai photographié les mains du jeune homme assis en face de moi. Je les ai trouvé belles ses mains. Il ne m’a pas vu faire, il était concentré sur son écran, et moi je suis vraiment incapable de le décrire. J’ai juste volé l’image de ses mains. Point.

Immersion dans le centre-ville et ses surprises de coins de rue.

Quand je vois une fenêtre ouverte, je me demande toujours ce qu’il s’y passe derrière ? Est-ce une chambre, une salle de bain, un bureau, un escalier, une salle d’expo… ? Le mystère reste entier et mon imagination ne cesse de travailler.

Notre destination, le Cloître des Jacobins. Pour l’atteindre, il faut forcément traverser l’église et son palmier majestueux.

Et enfin, l’objet de notre convoitise. Je ne sais pas à quoi ça tient, et sûrement pas à ma ferveur religieuse, je n’en ai aucune, mais j’aime les cloîtres. Leur calme dans l’agitation des villes, leur architecture particulière, leur déambulation méditative, l’énergie de la foi qui s’en échappe ? Sûrement un mélange de tout cela. Mais bref, j’aime les cloîtres. Et celui-ci est quand même bien beau.

Bien sûr j’ai fait 255 938 photos que je vous épargne.

Dans une salle, une expo sur le Moyen Age, Jul a évidemment mis en action ses talents de bâtisseurs.

Et puis le soleil entre les colonnes.

Et puis le Cloître des Jacobins quoi !

Fallait bien une limonade et une glace pour nous remettre de tant de beauté. C’est, assis la, en train de boire tranquillement son verre que Jul a dit : « Je crois que nous avons visité tous les cloîtres des environs. » En réalité, pas tout à fait, il en reste un. Celui de Moissac. Mais nous en reparlerons.

Comme nous étions allés droit au but vers les Jacobins, nous n’avions pas vraiment d’idée pour la suite. Alors, nos pas nous ont conduits vers Saint Sernin. Passage par la Cinémathèque où nous avons continué notre débat sur Godard.

Cette façade si belle dans le soleil de fin d’après-midi.

Et le musée Saint-Raymond et ses collections antiques. Nous n’étions jamais venus, mais je les suis sur les réseaux sociaux. Leur communication, leur vision transversale de la muséographie, permet de faire des passerelles entre les mythes et le panthéon romain d’une part et nos superhéros d’autre part. Cette vision des choses est tellement décalée, qu’elle rend intéressante et hyper contemporaine la moindre pièce archéologique.

J’ai une passion pour l’art antique qui me vient sans doute de mes années à l’université et de mon DEA en Histoire des Mondes Antiques que j’ai suivi dans une autre vie. Je suis particulièrement sensible aux drapés des tissus sur les corps parfaits en marbre froid, le travail des coiffures où chaque cheveu, chaque bouclette semblent réellement voler dans le vent, mais aussi la justesse des visages certes idéalisée, mais qui gardent quand même les caractéristiques des modèles.

Et on en parle des abdos des Dieux ? Oui, je sais que ce sont des Dieux et ils ont des muscles qui n’existent même pas. Mais franchement, moi je trouve ce drapé tellement beau… Pas vous ? Ah, vous aviez cru que je parlais d’autre chose peut-être.

Au sous-sol, des fouilles spectaculaires ont été mises à jour. La structure contemporaine a été construite autour. Jul a cherché comment les ingénieurs et les ouvriers s’y étaient pris. Moi, j’ai profité du point de vue.

Ce n’est bien sûr pas le premier musée d’Art Antique que je croise et pour l’instant ma référence en la matière était celle d’Arles. J’avoue que là, même si un tout petit nombre de sarcophages sont présentés sans rapport avec la profusion d’Arles. Il faut bien avouer que leur qualité est incroyable. Peu, mais beaucoup mieux. Une fois de plus.

Le problème avec les marbres antiques est qu’ils n’ont plus de mains. Des pieds, oui par contre. Alors photos de pieds.

Franchement cette chevelure et les drapés de la jupe ne sont-ils pas fabuleux ?

En parlant de main : on est d’accord que ce n’est pas celle du personnage sur sa cuisse gauche. Alors une question se pose ? Mais qu’est-ce qu’il est en train de faire ??? J’aimerais bien le savoir … Moi l’esprit mal tourné ? Pas du tout !

Je ne sais pas comment j’aurai fait en ce temps-là, moi qui n’aime que les petits sacs à main.

Retour a la maison, complètement cuits et puis de toute façon mes médocs me terrassent à 21h15, donc… Et nous avions un objectif pour le lendemain.

Dimanche

Je vous ai parlé plus haut du Cloître de Moissac. Le seul des environs que nous n’avions pas visités. Et pour cause ! C’est qu’il sait se faire désirer ! De passage par là un jour, nous avions trouvé porte close pour cause de jour de fermeture. Une autre fois, c’était entre midi et deux et donc fermé pour cause de pause déjeuner. Une autre fois encore, impossible d’y rentrer pour cause de concert exceptionnel sur 2 jours, alors que j’avais prévu un week-end en amoureux à Moissac justement pour visiter le cloître. Bref, tous les cloîtres sauf Moissac ! Cette fois, Jul a dit : « Il fait bon, on prend la moto et c’est les journées du Patrimoine, allons à Moissac, se sera forcement ouvert. » Bonne pioche ! 

L’entrée est étrange. On a est accueilli dans un hall de verre très contemporain et l’accès se fait par une petite porte en métal presque dérobée. C’est un peu la même sensation que lorsqu’on visite les grottes de Lascaux. On passe la porte et puis…

Et puis c’est grandiose ! Et c’est tout !

Tellement harmonieux.

Si vous avez vu le film « Edmond » de Alexis Michalik, la dernière scène se situe au pied de cet arbre majestueux.

En long, en large, en travers, de droite à gauche, de haut en bas, tout est beau.

Même les serrures sont belles.

Bref, ça valait le coup d’attendre.

Un tout tout petit escalier mène dans la tour cloche.

D’ailleurs, ça me surprend toujours quand un tout petit accès débouche dans une grande salle surplombant le chœur de l’Abbaye. Les moines s’y rendaient pour assister à l’office tout en étant séparés du monde du commun des mortels.

Il y a un truc que je ne m’explique pas : mettez au milieu d’un espace un bloc de cailloux, très lourd (faut que ce soit lourd, sinon ça marche moins bien). Forgez un anneau sur le dessus. Posez une personne de sexe masculin à côté (ça ne marche pas du tout avec les femmes a priori). Et bien, à tout les coups, l’individu observé va tenter de soulever ou du moins de déplacer le bloc… Pourquoi ? Les mystères de la nature. Mais faites le test de votre côté et vous verrez bien. On dirait que c’est dans leurs gènes

Bref, la délicatesse du Cloître de Moissac.

À l’extérieur, on voit mieux les différentes époques de construction. 

Heureusement, le tympan roman du portail d’entrée sur le thème de l’Apocalypse a été préservé. C’est des plus beaux témoignages de sculptures romanes encore en place.

Une petit bière pour se remettre de tant de beauté.

Une balade dans Moissac aussi. Tant qu’à être là.

Le fameux hôtel où nous avions dormi, il y a presque 10 ans.

Foire agricole, avec tracteurs, culs de vache et aligot. Que du très classique pour une foire agricole.

Et retour vers l’Abbaye. À notre sortie du Cloître, un baptême se déroulait dans l’édifice. Nous sommes donc allés faire un tour en attendant.

Un édifice très lumineux qui a gardé son décor original depuis le XVe siècle. En effet, les rénovations successives ont conservé exactement les mêmes couleurs et les mêmes motifs, ce qui est particulièrement rare et remarquable.

Vous voyez les 3 fenêtres en haut sous la voûte ? C’est dans cette pièce que Jul s’est pris pour Musclor.

Le sol était assorti à mes chaussures. Bon, oui, c’est vrai, s’il ne l’avait pas été, j’aurai sûrement fait la photo aussi.

Après tant de jolies choses, retour à Rabastens tranquillement.

On était de retour depuis une petite 1/2 heure, quand les Rabastinois d’en Haut sont passés (en moto, eux aussi). Un verre limo, et une bonne mise à jour. Il y avait à dire. Ça a pris au moins tout ça et c’était une excellente fin de week-end.

Un morceau grignoté sur un coin de table et hop au lit pour écrire ce résumé de la semaine. Évidemment, je me suis endormie…  Et vous connaissez presque tous mes déboires.

Voilà une semaine vraiment sympa qui se termine. Outre le fait que j’ai fait beaucoup de choses, c’est surtout la sensation d’être délivrée de ma pesanteur habituelle. C’est nettement plus confortable pour avancer. Je n’engagerai pas le débat avec moi-même sur l’efficacité des molécules, sur un léger up qui pourrait pointer son nez ou je ne sais quelles raisons pourtant bien pertinentes. Je prévois juste de profiter de cet état le plus longtemps possible et puis si ça tombe, et ben ça tombera, de toute façon, j’ai l’habitude.

Je vous souhaite une belle semaine de fin septembre et un flamboyant été indien.
Des bises à tous.

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