Semaine 4 de 2023

Quel suspens ! J’ai promis la suite de la remontada, mais est-ce réellement le cas ? Aaahaa ! Va falloir lire jusqu’au bout ! Vous avez vu ce leasing de fou ?

lundi

Matinée épuisante pour Orion. Sa vie est un vrai dilemme : où s’installer pour être le plus confortable ? Sur le ventre de Jul pendant qu’il fait sa rééducation ? Sur les genoux d’Alice fraîchement arrivée ? Depuis qu’il s’est fait mal, il est un peu collant. Nous, on aime vraiment ça. Et lui aussi semble-t-il.

Rando du lundi. Il a fallu bien se couvrir parce que ça caillait sévère.

Presque 11,5 km. J’étais complètement cuite après. 

Et puis courses. Le frigo et les placards étaient vides. C’était rigolo d’y aller en famille comme quand les enfants étaient petits. Surtout que dans les allées, nous avons croisé Raph et E.
Découverte improbable : il existe des gels douche, parfum bonbon cola, caramel beurre salé et dragibus. Mon dieu comme ça put ! Beurk !

C était sur un salon du livre le week-end dernier. Il est auteur et son dernier-né cartonne. Le dessinateur des Vieux Fourneaux était là aussi. Avec Jul, ils avaient discuté un soir de la qualité de cette série. Jul avait dit combien il adorait l’histoire de ces papys rebelles. Du coup, C nous a fait dédicacer un album. C’était une attention tellement mimi. Merci encore cher ami.

Film du soir espoir. Réalisé par Jean-Jacques Annaud, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Un film ? Un documentaire ? Un docu-fiction ? Un film-documentaire ? Et bien, j’ai été vraiment agréablement surprise. Ça tient la route. Les images sont incroyables (les reconstitutions sont à couper le souffle). Les personnages ont l’air plus vrais que nature et surjouent juste ce qu’il faut pour montrer qu’ils ne sont pas comédiens mais pompiers engagés dans la catastrophe du siècle. L’épopée du sauvetage des reliques tient en haleine. Vraiment bien. 

mardi

Jul est toujours dans sa phase exploration. Il a mal à l’épaule certes, mais aussi dans certaines articulations des mains. Donc radio pour vérifier la présence (ou pas) d’arthrose. La réponse est : pas encore, mais à surveiller. Du coup, ça fait de jolis clichés, je trouve. Ce n’est pas souvent qu’on voit notre beauté intérieure.

Parution de l’article de la semaine dernière. En écrivant ces lignes, je me rends compte que c’est quand même tard une publication le mardi… Faudrait que je retrouve un rythme plus en avant dans la semaine. Avec une écriture le dimanche soir ou au pire le lundi matin. On archive la page sur la semaine écoulée et l’on avance. Publier le mardi, c’est plus difficile, je suis déjà passé à autre chose, et l’exercice de classement n’est plus le même. Et cette semaine donc, ça été pire ! Y a une bonne raison a cela. Mais va falloir voir le prochain épisode pour savoir. Teasing de dingue je vous dis !

J’ai bloqué le reste de la journée pour travailler et essayer de prendre de l’avance.

Alice, elle a profité du salon pour lire tranquillement.

J’ai voulu faire un paquet (je vous expliquerai pourquoi dans un instant), les confettis vont vraiment se loger n’importe où ! Et c’est ça que j’aime.

Alice n’était pas avec nous pour Noël, mais son cadeau (qu’elle partage avec le Chat) était déjà prêt. Il était convenu qu’elle l’aurait quand nous arriverions à nous réunir tous pour un Noël décalé. Raph avait eu le même et avait promis de garder la surprise. Mais en allant faire les courses, il s’avère que le « cadeau » était en tête de gondole, qu’elle lui a tournée autour en nous disant qu’elle était trop fan, qu’elle le pistait sur V-P. On s’est dit qu’il ne fallait pas tarder à lui offrir pour éviter le « oups ! ». Vu sa tête, je crois qu’elle était ravie de son appareil gaufre/croque-monsieur. Raph a confirmé que c’était vraiment le feu. Seule contrainte maintenant, le ramener dans le train… Je ne me fais pas de soucis, Jul va trouver la solution. 

Et sinon ? Le combo fromage/patate pour une raclette en famille. Un classique toujours efficace.

mercredi

Nous avons reçu l’échéancier du prêt de la maison. Avec la hausse des taux d’intérêt, je craignais une explosion. Nous avons un taux variable. Je sais c’est pas sécurisant. Sauf que ! Grâce à cela et la baisse des taux depuis 2012, nous avons gagné 10 ans de remboursement. Ce qui n’est pas rien, vous en conviendrez. Aujourd’hui, ça remonte, on est d’accord, mais nous avons déjà remboursé la grosse grosse majorité des intérêts. Résultat, sur ce dernier échéancier, on a pris uniquement un mois supplémentaire. Espérons que ça ne fasse pas comme la retraite à toujours s’éloigner de plus en plus. Sinon ? Ben, on va survivre. 

Matin d’hiver ? Matin, tu grattes… En attendant, c’est beau et graphique tout ce givre.

Clan des blondes évidemment. Ressourçant, intéressant, distrayant comme d’habitude. Mais en plus, les filles de l’Atelier nous ont offert la galette. C’est adorable toutes ces attentions. On adore. Merci encore.

Au moment de remonter dans la voiture, je me suis dit « Euh, en fait il fait froid ! Faudrai peut-être bien mettre des gants quand même ou tes ongles vont encore explosé ! Ce serait dommage pour une fois qu’ils sont beaux. » Évidemment, j’avais pas fini de parler que crac ! Minute futile : Vous aussi le froid vous fait ça ?

Vous connaissez mon amour pour le thé et j’étais en rade. Alors, hop, une petite commande.

Heureusement que les frais de port sont offerts et que j’en ai pour au moins 6 mois, parce que c’est pas très rentable cette affaire. Mais tellement bon.

Alice avait pris le train de bon matin pour un colloque à Lyon. Elle a oublié son livre. Il est super bien celui-ci. C’est le premier qu’elle lit de Dicker, j’attends avec impatience ses impressions. Et qu’elle en lise d’autres pour comparer.

Ma voisine était tellement contente d’avoir posé ses fenêtres qu’elle est venue me chercher pour me montrer ça. C’est sublime ! Elle va pouvoir profiter d’un bel espace.

Truc hyper improbable : j’ai des alertes LinkedIn et Indeed depuis que j’ai fini ma formation. Je les regarde d’un œil distrait et parfois je réponds à l’annonce quand mon profil semble correspondre. Pas vraiment dans une démarche active de recherche d’emploi, mais plus comme une façon de se tenir au courant des compétences recherchées. Au pire, il ne se passe rien, je n’ai pas de réponse, au mieux j’ai une réponse négative « malgré la qualité de votre profil… ». De temps en temps, ça va plus loin, un échange de mail, ou même un entretien.  Et puis cette fois, ça a été un peu différent. Le profil rechercher était un community manager free-lance quelques heures par semaine. Je réponds et puis j’oublie. Et un mail… Qui m’explique la nature du poste : renfort de l’équipe en place des community manager de la SNCF Occitanie. Pas de télétravail. Horaire décalé. Mais plutôt bien payé. Mon profil les intéresse vraiment. Nombreux échange avec la responsable du service. Alors… Pourquoi pas. Entretien la semaine prochaine… On verra bien.

Repas du soir ? Arrrg la fin du monde oui !

jeudi

26 janvier… On y est enfin à ce fameux 26 janvier. D’ailleurs, j’en ai fait un article. En rédigeant cet article, je me dis qu’autant le 26 janvier m’a paru loin au mois d’août quand nous nous en avons parlé avec H et F, autant le mois d’août finira lui aussi par revenir. C’est encourageant dans ce gris et ce froid qui n’en finissent pas.

Séance de travail satisfaisante. Ce n’est pas toujours le cas à cause de ma concentration défaillante.

Et après ça, une sieste ! Mais un truc de fou ! C’est qu’on n’avait pas allumé les poêles. J’ai cru mourir de froid ! Non, non, je suis désolée, vous pouvez dire ce que vous voulez, mais à 17°C, moi, ça ne va pas ! Surtout que souvent c’est en dessous de ça. Je veux bien faire un effort. Je veux bien chauffer moins. Je veux bien mettre un pull de plus. Mais quand en plus il y a un plaid et une couette, c’est qu’on arrive à un seuil critique. Bouger plus ? Ok, je fais déjà 20 voir 30 km à pied par semaine. Et si vous avez une solution pour marcher pour bouger, tout en tapant sur un clavier, je veux bien un tuto !

Opération de la plus haute importance ! Nous avons un problème de poubelle ! Depuis le 1er janvier, tous (vraiment tous) les emballages doivent aller dans le tri sélectif (qui ne l’est plus vraiment du coup). Ok, normal, pas de soucis, on s’adapte. Jusqu’à présent, nous avions un bac dédié dans le garage et ça marchait bien. Mais là, comme c’est pour TOUS les déchets recyclables, il faudrait aller dans le garage toutes les 3 min. Et la poubelle classique 40L ne reçoit plus grand-chose vu que nous avons un compost et que les enfants sont partis. Alors la logique voudrait qu’on garde le bac du garage pour les gros trucs (bouteille de lait…), que notre poubelle de cuisine devienne celle des emballages à recycler et que nous trouvions une petite poubelle pour le reste que nous changerions plus souvent du coup… Mais… Parce qu’il y a un mais… Il faut trouver une poubelle qui nous plaise à tous les deux. Et quand on sait le temps que ça nous a pris pour trouver l’actuelle, et ben ce n’est pas gagner. « Mais enfin, c’est qu’une poubelle ?! ». Oui, oui, c’est vrai, mais ce n’est pas pour ça que ça doit être moche et jouer les verrues dans la cuisine. Je ne suis plus du tout du tout attaché à l’esthétisme de l’environnement qui m’entoure. J’ai pourtant tellement aimé ça. Aujourd’hui, je me fous de tout. Enfin presque tout. Je lâche sur le reste. Mais je ne sais pas pourquoi, j’ai eu un sursaut de fanatisme décorationnel. Je voulais une jolie poubelle. Chez Centrakor, pas trop de choix, à part cette poubelle noire et son couvercle en bambou. Elle avait les bons critères : la bonne taille, une couleur qui s’harmonise bien dans notre cuisine, une pédale (très important la pédale) et un dessus en bois… Enfin en bambou… Et là, Jul a dit « ça ne va pas aller, le couvercle va trop vite être crade ». Argument recevable… Le problème de la poubelle est loin d’être résolu… La suite au prochain numéro… Est-ce que je viens d’écrire 374 mots sur une histoire de poubelle ? Tout à fait !

Sur le chemin du retour à la nuit tombante, cette sensation de 26 janvier donc… J’y avais pensé toute la journée, la structure de l’article doucement s’agençait dans mon esprit.

Arrêt chez Intersport. Le père Noël avait promis de m’amener des chaussures pour la rando. Lui et moi avons préféré attendre les soldes. On a bien fait.

Et ce fameux article sur le 26 janvier. Promis, j’arrête avec ça.

vendredi

Prise de conscience au réveil : « Euh j’ai rando cet après-midi. Ce n’est peut-être pas prudent de partir pour 10 km avec des chaussures neuves… » Alors pyjama / chaussure de rando ça va non ?

Jolie balade à Sainte Quitterie et même pas mal au pied ! 

Je déclare donc que mes Salomons tiennent les 10 km à l’aise.

Alice de retour de son colloque à Lyon avait besoin de sommeil. Elle était accompagnée au cas où.

Jul était passé chez Rudy Salvan et la croustade était bienvenue.

Ben oui, il fait froid ici aussi.

Grande effervescence dans la maison : F, notre voisine avait envie de faire une grande raclette pour remercier les voisins de l’avoir aidée à ranger le bois au début de l’automne. Elle lance une première date : pas grand monde de dispo… Elle lance une seconde date et là ! Paf ! Carton plein ! Et là, avec Jul on se dit que… Tout ce monde ne va, bien sûr, pas tenir chez elle. On a proposé notre salle à manger. Une grande table pour 17 personnes, 4 appareils à raclette, 6 kg de fromage et 106 patates plus tard… Encore un moment incroyable avec ce Clan des 1 000 partys. Il en manquait mais ce n’est que partie remise. 

samedi

Un message que je n’attendais plus… Espérons que ça débouche sur un happy end.

Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais j’ai fait exactement la même photo la semaine dernière. Cette bête est prévisible.

Alice a trouvé le meilleur spot de la maison. Je ne vous dirais pas que j’adore ses chaussons… Vous l’avez deviné, je pense.

Bon, je laisse tomber le masque… Je me suis levée à l’envers… Mais vraiment. Avec ligne de flottaison au ras des cils. Je n’ai pas laissé monter progressivement, je suis sorti de mon lit ainsi. Pourquoi ? Je ne sais pas vraiment. J’ai des hypothèses : en accord avec le Dr F, la diminution des antidépresseurs a commencé… Est-ce ça ? Peut-être… Je ne dors pas bien la nuit, aussi… Chaud ? Froid ? La baisse des anti-DEP ? Est-ce ça ? Peut-être… En écrivant ces lignes, une nouvelle piste : je me rends compte que je suis fatiguée. Physiquement fatigué. Normal si je ne dors pas bien. Trop d’activités ? Est-ce ça ? Peut-être… Bref, j’ai eu besoin d’aide. Ça allait mieux après.

Surtout que Maître Yoda et son jeune Padawan m’ont partagé leur Force.

Il restait pas mal de fromages et de patates, Jul a dit « Appelle ton fils ! ». Même s’ils venaient d’ouvrir les yeux, Raph et E sont arrivés un peu en vrac, mais ce repas en famille improvisé a fini de me remonter.

Après la sieste (oui, je fais la sieste, je suis vieille), le passage des Rabastinois d’en haut. Alice devait montrer un truc à P, ç’a été l’occasion de boire un thé et de sortir la théière interdite.

Vous parliez de sieste ?

Qui parlait de sieste ?

J’ai enfin découvert les petits mots laissés par les voisins sur le tableau. Jul a joué au graphologue, mais n’a pas encore trouvé les auteurs. J’ai aussi de mon côté quelques idées. 

Et hop, on enchaîne, K avait repéré une « Nuit Celtique » à Giroussens. On a pris les places et zou en équipe pour passer un bon moment. En arrivant, les tables dressées, la déco et les petites bougies m’ont rappelé une autre soirée dans un lieu improbable. On avait tellement ri. C’était de bon augure.

1er concert, un Irlandais avec un tambour … irlandais. Je ne savais même pas que ça existait. Bref, c’était dépaysant et parfait pour un samedi soir de la fin janvier. 

Y avait du cidre à boire, et qui dit cidre dit muselet… Dit Dudul quand L est là.

Ce n’est pas qu’on a beaucoup bu, loin de là, mais en allant chercher des verres au bar on a récupéré du matos ! Et Alice a joué toute la soirée avec la ribambelle de Dudul. Finalement, c’est facile d’occuper les enfants. Surtout quand ils ont 23 ans…

Elle sait être créative, elle aussi.

À la table derrière, un monsieur a vu son petit manège, du coup, il a, lui aussi, fait fonctionner ses mains et son imagination. Il lui a ensuite proposé un nouvel ami. C’est L qui est reparti avec pour étudier le process de fabrication. Va nous falloir lui trouver un nouveau nom à ce petit compagnon.

Point un peu délicat de la soirée, l’organisation a été victime de son succès et était hyper mal organisée. Des heures de queues (oui oui des heures) pour récupérer nos galettes et nos crêpes. On a beau être patient, ça piquait un peu.

Heureusement, la musique était bonne. Et en particulier le 3ème et dernier groupe en provenance de Dunkerque. Nous avons même dansé. Même si nous avons beaucoup écouté ce style de chanson de marin, j’avoue que ce n’est plus trop ma came. Jul lui, par contre, adore toujours. 

Et puis fin de soirée après les rappels. Extinction des feux. Rangement des tables et des chaises par le staff. Ils nous ont poussés dehors (ou presque). En voilà un bon samedi soir !

dimanche

Ouh Bé ça, ça me va !

Attaque de chat toute la nuit et de bon matin. Pauvre Alice.

J’ai étendu la lessive que Raph avait mise à laver. Dans le tas, les blouses d’E. Cette fois, je crois que cette fois c’est officiel ! Emmy est définitivement rentré dans cette famille ! Et j’en suis ravie ! Il est donc temps d’utiliser son prénom.

Habillée pour partir en balade, Alice nous a fait un partage de code façon influenceuse pour un essuie-lunette. C’était si drôle. Et la bonne occasion de photographier ses mains. 

Direction Toulouse et l’expo Nikki de St Phalle aux Abattoirs à Toulouse. J’en avais entendu le plus grand bien évidemment tellement cette expo est un succès. Mais de toute façon, j’étais déjà convaincue. L’œuvre de Nikki de St Phalle est si joyeuse et colorée. 

Quand je suis en zone urbaine, mes sens s’activent automatiquement et je trouve de la poésie partout, même dans les chiottes du musée. 

Partout, je vous dis ! « L’incertitude est belle, mais rassure moi parfois ». Je crois que je vais m’écrire ça quelque part.

L’expo, donc. Volontairement, je ne vous montre pas tout ici. Je ferais un article à part. Pour ne pas vous spolier et pour vous donner ma perception qui n’est certainement pas la vôtre. Et l’on en discute si vous voulez ? 

Des mots, des ombres qui résonnent forcément. 

Le reflet de la lumière dans les miroirs comme des paillettes ou des confettis. Et ces mots auxquels je trouve un sens. 

Des mots, toujours des mots.. Et encore des paroles que tu sèmes au vent… Et je ramasse au passage !

Et les œuvres aussi, évidemment.

Mais non, je ne suis pas une œuvre d’art ! Quoique… Un Picasso peut-être… En même temps, une nana de Nikki de St phalle éventuellement pour rester dedans le thème. Ça, je veux bien.

Quelques clichés tendres, graphiques ou les deux.

Mon « pèlerinage » annuel vers cette phrase au fin fond du musée tout près de la sortie de secours. Elle est pourrai être tatoué sur ma peau, celle-ci.

Moi qui aime les confettis, j’ai été servi, et bien servie ! Ces éclats de lumières sur les murs donnaient vraiment une atmosphère incroyable.

Un fauteuil (un vrai) était dispo en photocall. Évidemment, ils ont dû se prêter au jeu, je n’allais pas laisser passer ça quand même.

Jul aussi a fait une photo…

Bref, une belle expo bien réussie. Il paraît d’ailleurs que 100 000 visiteurs l’ont déjà vu. Si vous n’y êtes pas encore aller, c’est jusqu’au 5 mars.

En sortant le petit manège du jardin Raymond VI toujours charmant.

Et le retour vers le centre-ville par les quais. Un grand classique.

Dans une petite rue, une jeune femme avait sorti ses pinceaux et ses couleurs. J’ai trouvé cela tellement poétique, tellement doux. Une belle forme de street art.

Bref, vous le savez bien, j’aime la ville et cette sensation que l’art est partout. Surtout, surtout, laissez-moi le croire.

Direction l’Autre Salon de Thé pour le goûter. C’est Jul qui a choisi. Il a bien fait, de toute façon, il y avait tellement de monde au Flower’s qu’il y avait 30 m de queue. Ià, il y a fait aussi du monde, mais c’était plus supportable et accessible.

Et les pâtisseries de l’Autre Salon sont aussi bonnes.

Voir très très très très bonnes. Avec des parts monstrueuses. Moi gourmande ? Je le sais bien que ma gourmandise me perdra. Ce n’est pas un scoop !

Sur le chemin du retour vers le métro, une rame justement. Celle de la future ligne 3. Jul est rentré dedans, nous avons suivi. C’est large, lumineux et aéré. La sensation ne sera peut être plus la même en situation, sous terre, aux heures de pointe. En attendant, avec le Donjon derrière, ça faisait une belle photo ! 

Il y a quelques semaines, Raph a acheté des plantes pour son appartement. Malheureusement, elles manquaient cruellement de lumière chez lui…  Alors, elles ont atterri chez nous pour que je leur sauve la vie. J’ai la pression maintenant ! Chargée d’âmes.

Elles ne sont pas trop en mauvais état, je pense pouvoir faire quelque chose.

Et puis fin de dimanche tranquille…

Alors remontada ? Pas remontada ? Je dirais une progression douce et continue. MAIS, je peux vous dire que la suite rue dans les brancards. On en reparle très vite ! 

En attendant, j’espère que vous vous portez bien. À la semaine prochaine. Des bises.

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