Semaine 11 de 2023

Ah ben quelle semaine !! En même temps quand tu décales Noël au 18 mars, tu te doutes bien que ça va être un peu bizarre. Bref, j’avais établi un programme que nous avons suivi dans les grandes lignes et c’était très bien comme ça.

lundi

Une belle énergie… OK, OK, ou pas…

Matinée studieuse comme tous les lundis matin.

Et un tour dans mon jardin. Les violettes avaient disparu avec les travaux. Elles reviennent, c’est une très bonne surprise Les hellébores sont en plein boom. Pas de doute, le printemps est là ! D’ailleurs à l’heure où j’écris ces lignes, il est vraiment là, c’est officiel. Et c’est une très bonne nouvelle.

Un tee-shirt jaune… Une salopette… Ça ne vous rappelle personne ?

23°C… Et le premier débardeur. Heureusement, je n’ai pas pris de coup de soleil. Vous savez celui qui vous fait des traces de bronzage hyper moche et qui vous em**rde toute la saison.

En cherchant un truc, le Minion a trouvé un journal de 2004 dans une valise. Il a pris le temps de lire.

De mon côté, journée très très productive : et hop 15 jours de publications programmées.

Et re-shooting chez Las Chicas qui recevait une réunion des Ladyswine autour du vin argentin.

Conférence et dégustation. C’était vraiment intéressant et j’ai fait de belles photos.

C nous a même fait une démo de pliage d’empanadas. Trop bien.

mardi

En plein ménage, Jul qui met une playlist de chanteurs morts et qui vit le truc. 

Bon ben il a chanté trop fort…

La playlist suivante n’était pas plus reluisante… C’est là qu’on sent qu’on vieillit ma bonne dame.

Ah ben si j’ai de l’intuition alors…

Arrivée de Padou et de Madou pour la semaine. Nous n’avons pas pu faire Noël le 25 décembre, ce sera le 18 mars. Après tout, on fait bien Noël comme on veut non ?

Une discussion sur les phobies… En cherchant le nom de la phobie du ménage (la haine du ménage hein ! Pas celle où tu fais le ménage tout le temps) que je n’ai pas trouvé, je me suis rendue compte que je souffrais de deux-trois autres franchement gratinées. Nan, je vous dirai pas ! Les phobies, ça se partage pas ! Enfin, si, mais j’ai pas envie de vous dire quoi.

Il y a bien longtemps que je ne veille plus à l’harmonie dans cette maison. J’ai lâché l’affaire. Les serviettes vert-jaune-rose, les assiettes bleues, la nappe saumon (oui, cette couleur existe encore), les couverts un-cheval-une-alouette. Soit je redresse la barre, soit je continue à laisser couler le navire… Je crains que nous soyons déjà sur le Titanic.

mercredi

Clan des Blondes. Évidemment, j’ai embarqué les parents. Madou avait amené des calissons (maison) et E nous avait préparé des crêpes. Un délice. Dommage, SuperMario et K sont en voyage. On a mangé leur part.

À l’heure de la sieste, je me suis attaquée au traitement de tous les shootings de la semaine précédente. Il y a beaucoup de travail, je n’ai même pas encore fini !

Arrivée d’Alice sur ces entre-faits et repas crêpes. J’ai demandé à chacun ce qu’ils avaient envie de manger et j’ai construit mes menus en fonction de ça. Je vous le dis tout de suite, le gluten a eu la part belle.

Alice a pris possession des lieux. Bébé Loutre s’est installée.

jeudi

Il y en a un autre qui est bien installé. Comme j’ai laissé mon lit aux parents, je suis venue squatter le lit de Jul. Enfin, plutôt le lit de Paddy. Qui dort en travers. Alors, quand il y a juste Jul, ça va à peu près, ils cohabitent, mais là, clairement ça ne lui convenait pas. Il occupe la place. Même quand Jul a rabattu la couette pour aérer, il n’a pas bougé une oreille.

Matin calme.

Et muscaris.

Puis balade à Montauban sous le beau temps.

Musée Ingres — Bourdelle. 
Autant j’aime Ingres et les bâtiments du musée, autant je n’aime pas Bourdelle. Ses sculptures sont expressives, certes, ses ensembles monumentaux sont harmonieux. Mais je ne sais pas, il y a un truc qui me dérange… Ce n’est pas grave, hein ? Mais plus je vois les œuvres de Bourdelle moins je les aime.

La salle du Prince Noir recroît depuis plusieurs années maintenant des artistes contemporains. Le cahier des charges est strict, il s’agit de ne pas détériorer les lieux. J’aime bien cette superposition entre histoire et présent. 

Bon cette fois, c’était pas hyper réussi à mon goût. Mais c’est peut-être que la dernière expo avait mis la barre trop haut.

Comme toujours quand je me rends dans ce musée, je reste un instant à converser, à travers le songe d’Ossian, avec la Moi étudiante en histoire de l’Art à Bordeaux et qui découvrait le travail d’Ingres par cette toile. Un choc pictural malgré la facture très classique de l’ensemble. Ossian rêve-t-il ma vie ? C’est bien possible…

Un petit clin d’oeil à mes copines qui photographient leur pieds.

Et cette œuvre si expressive. Si seulement le message pouvait arriver aux quelques dégénérés dangereux et bas du casque.

Un petit goûter Place Nationale en terrasse pour reprendre des forces.

Et flânerie urbaine. Je n’étais pas rentrée dans un Galleries Lafayettes depuis des lustres.

Retour à la maison pour préparer le repas du soir. Alice avait dit « fromage fondu ! » alors… Fondue. Raph nous a rejoint pour cette soirée familiale. L’odeur du fromage fondu est arrivée jusqu’à lui.

vendredi

Toujours cette histoire de chats. Orion et Paddy se tolèrent tout juste, par contre pour occuper le lit, là, y a plus de problèmes !

Pour la déco des bords de fenêtres cette fois-ci, je n’avais pas d’idée. Alors, Jul avait installé des pots remplis de terre où étaient plantés des clous et des cailloux, avec un grand panneau « silence, ça pousse ».  Ça m’avait donné l’idée de mettre progressivement de l’herbe (en papier) puis des fleurs (en papier aussi). J’avais sorti tout le matos. Et puis… Rien comme d’habitude. J’ai expliqué mon idée à Alice et hop en deux temps trois mouvements : de l’herbe !

Moi, j’avais quai 9 3/4, poste de l’après-midi donc jusqu’à 20h. Les gares sont vides en temps de grève.

Je travaille avec 2 grands écrans et comme j’avais une réunion d’équipe, j’ai rajouté mon ordi perso. Ça ressemblait un peu à la NASA, tout ça avec l’immense mur d’écran général.

Un grand habitué des salles de contrôle m’a envoyé un message pour me dire que finalement des trains ou des avions ultra-secrets, c’était bien pareil. Ça m’a fait rire pour toute la journée.

Pendant ce temps, Jul passait chez son dealer préféré et faisait les courses pour tout le quartier.

À mon retour, sur le parking, abandonné là comme ça tout seul, ce brin de mimosa. Il etait pour moi. Je vois que ça. J’aime tellement le mimosa. Mais je radote du coup.

samedi

Après l’atelier herbe, l’atelier fleurs. Je les métrerai au fur et à mesure. Heureusement qu’Alice etait là. Les bords de fenêtres sont sauvés et ma réputation aussi.

Voilà, voilà, voilà…

Alice avait dit : « frites » ! Bon, moi j’ai décidé de rajouter le poulet. Mais frites maison et poulet du marché. 

Même la mayo était maison.

Atelier coiffure : Madou a coupé les pointes des longs cheveux d’Alice et moi j’ai tondu Jul comme un mouton. Il était temps, ils ressemblaient à un savant fou. Mais alors très très fou.

Et puis Noël ! Voui, un 18 mars. J’ai remis le sapin, installé les copains sur la table (je les avais gardé exprès).

Le Chat (arrivé un peu plus tôt dans la journée), Emmy et Raph ont complété l’équipe. Alors apéro !

Le dîner est arrivé. Nous nous étions dit que comme Keikook était de retour c’était une trop bonne occasion pour profiter de ses talents. Comme en général, elle nous fait des makis végétariens si on lui demande, ça permet de contenter tout le monde.

Évidemment teem baguette et team fourchette et tout le monde s’est régalé !

Et en dessert, mochis et douceurs de Madou, parfait !

Qui dit Noël, dit cadeaux : mon précieux a une nouvelle robe.

Je vous laisse agrandir la photo en zoomant sur le bouquin pour la comprendre.

dimanche

Sans commentaire.

J’avais dit « Bugnes » alors Madou a fait des bugnes.

Brunch du dimanche, lendemain de fête.

Orion a retrouvé les genoux de Raph.

Et départ pour Aéroscopia à Blagnac, le musée de l’aviation. C’était à la fois très beau et vraiment très intéressant.

J’ai fait des tonnes de photos et même une floue !

Vraiment vraiment bien. Chacun de nous y a trouvé son compte.

Même Jul qui est revenu avec des greluches.

Madou avait dit : « Gaufre ». Alors gaufres pour le goûter.

Quand on goûte à 18h, il y a peu de chance de dîner quand même. Du coup vers 21 h, Jul et le chat ont sorti le limoncello… Et la soirée s’est tranquillement terminée.

Voilà, voilà, une semaine vraiment très remplie. J’avoue que je suis cuite ! Complètement cuite d’ailleurs, et peut être même cramé sur les bords.

La semaine à venir sera plus calme (normalement), en tout cas je crois que c’est nécessaire. Et qu’il faut que j’accepte. J’ai écouté dernièrement la sage parole d’une créatrice de contenu qui expliquait que quand ça ne va pas, il faut se laisser couler pour qu’une fois arrivé au fond, on puisse taper au fond pour remonter. Qu’il ne sert à rien de lutter ! Que c’est pire, car la chute est inexorable ! 

Allez, je vous donne rendez-vous la semaine prochaine après une sieste de 7 jours.

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